PartyPoker affiche ses ambitions sur le march�� U.S.
Le Black Friday ne fait pas que des malheureux. Selon un article publi�� le 18 octobre dans le magazine Forbes, le co-pr��sident de Bwin.party digital entertainment Jim Ryan a pass�� le plus clair de son temps ces derni��res semaines �� vanter les charmes de sa compagnie aupr��s d'investisseurs am��ricains. All��ch��e par l'��viction de Pokerstars et de Full Tilt Poker de ce march��, la soci��t�� issue de la fusion entre Bwin et PartyPoker serait m��me sur le point de signer deux accords de partenariat outre-atlantique.
PartyPoker, ex-num��ro un U.S.
Remettre un pied sur le sol am��ricain, PartyPoker en r��ve depuis 2006, lorsqu'a ��t�� vot��e la loi UIGEA �� Washington et que, devant l'ins��curit�� juridique qu'elle entrainait, l'op��rateur a d��cid�� de se retirer du march�� am��ricain. Qu'il dominait pourtant. Quelques ann��es plus tard, sous la pression de ses actionnaires, l'entreprise acceptera m��me de n��gocier une amende de 105M$ avec le Tr��sor am��ricain, afin d'��viter des poursuites pour ses activit��s ant��rieures �� 2006 sur le march�� U.S.
Pendant ce temps, Pokerstars et Full Tilt faisaient le pari inverse et occupaient tout l'espace laiss�� vacant par leur ancien rival. Et fort des dividendes du march�� am��ricain, elles d��tr?naient bient?t PartyPoker pour devenir n��1 et 2 mondiaux du poker en ligne.
Le Black Friday valide les choix de PartyPoker
On a cru que PartyPoker avait fait le mauvais choix jusqu'�� ce qu'en avril 2011 le FBI s'attaque �� Pokerstars et Full Tilt Poker et suspende leurs activit��s am��ricaines, d��clar��es ill��gales. C'est le fameux 'Black Friday'. Trois mois plus tard, Full Tilt sombrait et PartyPoker accroissait de 35% sa base de joueurs pour redevenir num��ro deux mondial.
Aujourd'hui, Jim Ryan croit que l'heure de la revanche a sonn��. Si le march�� doit s'ouvrir, son entreprise sera id��alement plac��e pour en tirer les b��n��fices : "La marque qui a la plus grande notori��t�� spontan��e sur le march�� am��ricain est PartyPoker", avance-t-il. Et le World Poker Tour, r��cemment rachet�� par la compagnie, jouit ��galement d'une forte reconnaissance aux Etats-Unis grace �� ses multiples rediffusions t��l��vis��es.
N��gociations avanc��es mais secr��tes
Lors de sa tourn��e am��ricaine, Jim Ryan a assur�� �� de multiples reprises : "Toute mon attention est tourn��e vers les Etats-Unis��. Pourtant, rien ne garantit que ce march�� sera r��gul�� un jour. Et, dans l'hypoth��se o�� il le serait, le Co-Pr��sident de Bwin-Party Digital sait qu'il aura besoin de partenaires locaux : ��Si le march�� est r��gul��, je doute que nous obtenions une licence directement. Il y a de bonnes chances que la loi (f��d��rale ou ��tatique) soit ��crite de telle mani��re qu'elle favorise les op��rateurs physiques ou les ��quipementiers locaux". Le genre d'op��rateurs avec lesquels Jim Ryan affirme justement ��tre aujourd'hui en phase de n��gociation avanc��e. Mais leur identit�� reste encore un myst��re.
T��l��charger PartyPoker.fr : 40� gratuits sans d��p?t
T��l��chargez PartyPoker.fr avec les liens PokerNews et recevez 40� sans d��p?t sur votre compte, un ticket pour un freeroll �� 1.000� et la possibilit�� de participer aux freerolls "bankroll builder", dot��s de 15.000�, pour financer votre participation aux satellites pour le 50.000� garantis et le 100.000� garantis mensuel.