Amaya et GVC : conclusion en vue pour le rachat de bwin.party
Amaya Gaming, la soci��t�� propri��taire de PokerStars et Full Tilt, aurait effectu�� une offre ��valu��e �� 900 millions de Livres Sterling (approximativement 1,5 milliards d'euros) pour le rachat du groupe bwin.party selon le Financial Times du 7 juillet.
L'op��ration ��tait ��voqu��e depuis plusieurs semaines, il semblerait que ce qui n'��tait alors qu'une hypoth��se soit en passe de devenir r��alit�� avec une concr��tisation imminente. Amaya s'est associ�� avec GVC Holdings, une entreprise sp��cialis��e dans le paris sportifs et les casinos virtuels contr?lant Sportingbet, CasinoClub, et Betboo.
"Nous sommes toujours en discussion avec bwin.party et nous n'avons pas de commentaires �� faire sur ces discussions" a d��clar�� un porte-parole de GVC au Daily Telegraph. Bwin.party n'a pu ��tre joint pour commenter l'op��ration.
Un probable rachat qui aura n��cessit�� des mois de n��gociations, les premi��res informations ayant circul�� d��s novembre 2014 peu de temps apr��s des rumeurs sur un int��r��t de 888holdings pour bwin.party.
Le rachat de l'op��rateur conforterait la place de leader absolu du poker en ligne d'Amaya, privant un concurrent d'une opportunit�� de croissance externe, offrant de surcro?t une porte d'entr��e pour PokerStars sur le territoire des ��tats-Unis, Party Poker ��tant d��j�� agr���� dans le New Jersey. Confront��s �� une forte opposition de nombreux lobbyistes concernant une ��ventuelle autorisation pour ��voluer sur le march�� am��ricain r��gul��, PokerStars et Amaya tiendraient l�� l'opportunit�� de contourner les restrictions.
L'entreprise d��tiendrait en parall��le l'EPT et le WPT !
Des perspectives qui n'ont pas d��clench�� l'enthousiasme des march��s financiers, Amaya et GVC ayant plong�� dans le rouge apr��s l'annonce de l'offre.
La journ��e a ��t�� encore pire pour GVC Holdings qui a perdu 3,56 points durant la matin��e de cotation au London Stock Exchange. Des replis qui pourraient avoir d'autres explications, la crise financi��re grecque et des inqui��tudes li��es aux march��s financiers asiatiques.
La journ��e de mercredi �� Londres a m��me vu bwin.party terminer en rouge, avec une perte de 3,4% ; une ��volution plut?t rare pour une compagnie en passe d'��tre rachet��e !
Malgr�� ces r��actions prudentes des march��s, les analystes financiers continuent de penser qu'il s'agirait d'une bonne op��ration pour les deux parties concern��es, Amaya et bwin.party.