Les Borgata Babes doivent garder la ligne !
Un proc��s assez original opposait un collectif de serveuses et leur employeur, un casino d'Atlantic City. L'objet du litige, l'obligation pour les jeunes femmes de maintenir leur poids �� un niveau stable, a passionn�� l'Am��rique jusqu'au verdict rendu par le tribunal.
Un verdict favorable au casino, la juridiction ayant estim�� que vouloir r��guler le poids des jeunes femmes est l��gal. Il convient de pr��ciser que celles-ci exercent leur profession dans des tenues assez l��g��res mettant en valeur leur anatomie.
Alcool, jolies filles et gambling... les Highlights de la d��position d'Ivey dans l'affaire du Borgata
Les serveuses, v��tues d'une petite robe noire, contribuent depuis des ann��es au succ��s du Borgata Casino. Celui-ci ��dite m��me chaque ann��e un calendrier avec photos de ses Borgata Babes. Pour les contraindre �� maintenir leur ligne, l'��tablissement a ��labor�� un r��glement interdisant aux jeunes femmes de perdre ou gagner plus de 7% de leur poids initial. Deux serveuses, l'une ayant pris trop de poids, l'autre perdu, ont d'ailleurs ��t�� licenci��es ce qui a conduit un collectif de 21 employ��es �� entreprendre une proc��dure judiciaire. Les plaignantes ont indiqu�� avoir ��t�� victime de harc��lement ��manant de leurs responsables ou encore de moqueries du personnel.
"On a autoris�� l'institutionnalisation de ces jeunes femmes en objet sexuel."
Le verdict rendu par la cour d'appel du New Jersey, avan?ant que le casino avait le droit de r��guler le poids de ses employ��s (qui ont tous - ou plus exactement toutes - sign�� le contrat) a ��t�� fortement critiqu�� par l'avocate des plaignantes. Deborah Mains a d��clar�� "On a autoris�� l'institutionnalisation de ces jeunes femmes en objet sexuel."
Borgata casino can regulate waitresses' weight, ruling finds https://t.co/d77rt4nKjZ https://t.co/KGRoUGWkGk
— Yahoo News (@YahooNews)
L'affaire des Borgata Babes n'est pourtant pas termin��e, le tribunal ayant statu�� que certains aspects juridiques n'avaient pu ��tre jug��s par la cour, autorisant le renvoi vers un autre tribunal de ce qui concernaient notamment les conditions de travail pr��sent��es comme hostiles et d��gradantes.
