Contes de la vie ordinaire du joueur de poker
"Bonne pioche sur la river," dit Filtz.
"mon as ne suffisait il pas ?" demanda O'Shea.
"Non, j'��tais devant jusqu'au turn," r��pondit Filtz.
"Moi je pense que mon As ��tait quand m��me suffisant."
"J'avais As valet."
"j'ai appercu un 8 quand tu as jet�� tes cartes."
"je pense pas, t'as pas du bien voir."
"Tu pouvais pas lacher ce pot de toute fa?on."
... et le jeu continue.