Poker Online : les ennemis de mes ennemis sont mes amis
Un revirement d'importance vient d'avoir lieu aux ��tats-Unis dans la bataille pour la lib��ralisation du poker online.
Le Groupe Caesars Entertainment Corporation vient en effet de s'allier �� PokerStars pour tenter de promouvoir le poker sur Internet en offrant un front commun aux principaux opposants �� celui-ci et notamment Sheldon Adelson, principal soutien financier de l'opposition.
Jusqu'�� pr��sent, la majorit�� des acteurs du poker en ligne aux ��tats-Unis (politiques, casinotiers, op��rateurs de jeux en ligne, etc.) ��taient fermement contre l'implantation possible de l'op��rateur sur le territoire am��ricain du fait de la clause "bad actor" interdisant aux compagnies n'ayant pas respect�� la loi UIGEA avant le black friday de se voir d��cerner une licence (�� laquelle s'ajoutait peut-��tre la crainte de voir d��barquer un redoutable concurrent).
Rachet�� par Amaya Gaming, PokerStars est d��sormais plus pr��sentable. Avec cette alliance, les partisans d'une loi de r��gulation vont pouvoir lutter �� armes ��gales avec leurs adversaires qui b��n��ficient du lobbying d'Adelson. D'autre part, en offrant �� PokerStars une nouvelle forme de virginit��, ce partenariat met �� mal la clause "bad actor", r��guli��rement invoqu��e par les adversaires politiques de la l��galisation, clause qui constituait le principal frein �� l'adoption par plusieurs ��tats d'une loi de r��gulation.
Simultan��menttrois tribus indiennes de Californie ont officiellement indiqu�� avoir revu leur position sur la clause "bad actors", une avanc��e substantielle vers l'adoption par l'��tat le plus peupl�� des ��tats-Unis d'une loi de r��gulation.
La nouvelle alliance entre PokerStars et Caesars intervient alors que plusieurs ��tats, en particulier New York et la Pennsylvanie d��battent sur l'��ventualit�� d'une l��galisation du poker en ligne, sans omettre la Californie qui ��tudie cette possibilit�� depuis de longs mois.
